Quels sont les KPI à suivre pour une bonne gestion de l’intérim ?

Aujourd’hui, entreprises et agences d’intérim peinent à trouver des candidats et à conserver les meilleurs profils. Digitaliser la relation intérimaire apparaît comme une excellente manière d’améliorer ses recrutements les plus récentes de la DARES. Si l’intérim est un levier efficace pour les entreprises à la recherche de flexibilité et de talents particuliers, elle impose aussi une gestion intérim complexe au quotidien, en particulier pour celles qui s’appuient sur plusieurs fournisseurs. C’est pourquoi il est essentiel de disposer des bons indicateurs de performance afin de suivre son activité intérim et s’assurer de piloter sa stratégie avec les bonnes agences.

Kimberley Faure

Chargée des contenus et partenariats

Les KPIS pour mesurer la performance et la qualité des fournisseurs

Si la relation entre une entreprise et une agence d’intérim reste techniquement une relation client-fournisseur, elle est en réalité bien plus que cela. En effet, en fournissant des travailleurs répondant aux besoins des entreprises, les agences sont indirectement parties prenantes de la réussite de leur client. Pour les services RH qui nouent les relations avec les agences et qui gèrent l’activité intérim, mesurer la performance et la qualité des agences est indispensable.

  • Qualité de la relation avec ses agences : analyse du relationnel avec les agences, de la bonne compréhension des besoins, et de la capacité d’adaptation sur des besoins urgents ou volumiques.

  • Gain de temps : est-ce que l’agence est capable de faire gagner du temps à ses clients en trouvant facilement et rapidement les bons travailleurs ? Combien de temps s’écoule en moyenne entre l’expression du besoin et le premier jour de l’intérimaire en entreprise ? Le temps économisé grâce à une agence efficace peut ainsi être réinvesti dans d’autres activités stratégiques de l’entreprise.

  • Maîtrise du budget : est-ce qu’il y a des mauvaises surprises ou des surfacturations ? Est-ce que les accords-cadres sont bien respectés ? Y a-t-il des écarts dans les factures ou des problèmes de surfacturation ?

  • Cohérence du coefficient de facturation avec le taux de placement : quel est l’équilibre entre le coefficient et la qualité des recrutements ?

  • Nombre de contrats erronés par rapport à la commande initiale : est-ce que les intérimaires correspondent bien à la demande en termes de qualifications, de postes, d’attentes salariales, etc. ?

  • Réactivité des agences : en combien de temps l’agence peut proposer des candidats aux entreprises selon la typologie des postes et des profils recherchés ? Quel est le temps d’envoi de la candidature à partir de l’émission d’un besoin ? Celui qui court jusqu’à la signature du contrat intérim ?

  • Fluidité des échanges administratifs : est-ce que l’intérimaire a besoin de se déplacer pour signer son contrat ou est-ce que tout peut se faire en ligne ? Quels sont les outils et processus pour échanger et sécuriser les documents administratifs ?
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Les KPI pour mesurer les processus internes

Pour beaucoup d’entreprises, le recrutement d’intérimaires est souvent volumique. Les besoins sont importants, les travailleurs vont et viennent selon les besoins et les sites géographiques, et il peut être difficile d’avoir une vision claire pour les services RH. Il est crucial de travailler avec des agences qui disposent des bons outils digitaux pour faciliter ce travail.

  • Volume et respect du processus pour garantir l’efficacité de la gestion de l’intérim (de la demande initiale à la signature du contrat et aux premiers jours en entreprise).

  • Conformité technique et juridique : pour s’assurer que le Code du travail soit bien respecté en matière de motif de recours à l’intérim, de rémunération et de renouvellement.

  • Respect des étapes préalables : il faut limiter les risques d’erreur avec des contrats sans commandes formalisées ou des sites qui ne sont pas censés faire appel à de l’intérim.

  • Nombre de contrats et volume de personnes en équivalents temps plein selon les postes ou les sites géographiques.

  • Volume de dépenses par établissements ou départements/services pour faciliter une gestion centralisée de l’intérim.
  • Contrôle de la sollicitation des fournisseurs : pouvoir identifier les éventuelles sollicitations d’entreprises de travail temporaire non référencées avec lesquelles des contrats cadres n’ont pas été passés.

 

 

L’œil de PIXID

Parce que le processus d’intérim est hautement encadré par le droit du travail (motif de recours, durée initiale, renouvellement, rémunération, qualification, délais de carence, etc.), il est essentiel que les entreprises s’appuient sur des indicateurs et des processus solides afin de gérer les risques et éviter la requalification du contrat de mission en CDI à la demande d’un intérimaire. Collaborer avec des agences qui disposent des outils de gestion performant, pilotés par la donnée, sans silos, et avec une collaboration fluide et transparente garantit aux entreprises utilisatrices une sécurité supplémentaire dans le pilotage de l’intérim.

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